On obtient ce pour quoi on paie
Date du communiqué: Nov 7, 2017.
Cher jaseur,
Je tiens à souligner à tous l’importance d’avoir une bonne assurance avant d’entrer aux États-Unis.
Le 1er janvier 2011, nous avons été impliqués dans un gros accident sur la route I-75, en direction du Kentucky. Notre fourgonnette a été démolie par une grosse autocaravane pendant que nous étions arrêtés devant une voiture-patrouille tous clignotants allumés. Mon passager a été gravement blessé et on nous a emmenés à un hôpital à Corbin. Après que j’aie insisté, on a téléphoné à Medipac.
Medipac a pris la relève et nous a transportés à la maison par les airs. Grâce à Medipac, ma seule dépense a été une chambre d’hôtel. Pour moins de trois jours d’hospitalisation, la facture s’élevait à plus de 100 000 $. Quand j’insistais pour téléphoner à Medipac, le médecin qui se tenait au pied de mon lit dans la salle d’urgence m’a dit : « Voulez-vous vivre pauvre ou mourir riche? » J’imagine qu’il était ennuyé parce qu’il ne pouvait faire monter la facture. Medipac n’est pas l’assurance la moins chère sur le marché, mais je crois bien qu’elle est la meilleure. « On obtient ce pour quoi on paie. » Merci à l’ACS.
Donald P.
Woodstock, ON
Réponse:
Éd. : Veuillez noter que la facture de M. Post s’est élevée quand même à 100 000 $, plus les coûts d’ambulance aérienne de 15 000 $. Ceci est un rappel pour les personnes qui croient que, si elles tombent malades, elles n’auront qu’à prendre l’avion et rentrer chez elles; ceci arrive très rarement. En passant, si vous nous envoyez la facture de l’hôtel, nous la paierons également. Avec Medipac, nous essayons de vous en donner plus que ce pour quoi vous payez.